Le concours "lauriers du journalisme d’impact au Togo" lancé ce 6 février 2018 à Lomé
Le concours « lauriers du journalisme d’impact au Togo » lancé ce 6 février 2018 à Lomé

Le 3 mai 2018, le concours « lauriers du journalisme d’impact au Togo » va révéler pour l’édition 1, les journalistes d’impacts au Togo. Lancé ce 6 février à Lomé, ce concours vise la promotion du professionnalisme chez les journalistes togolais.

Pensé par les ambassades des Etats-unis, de France, d’Allemagne et la délégation de l’Union Européenne au Togo, le concours « lauriers du journalisme d’impact au Togo » s’adresse à trois catégories de journalistes. Ceux de la Presse écrite et en ligne (catégorie 1) ; ceux de la télévision (catégorie 2) et ceux de la radio (catégorie 3). Les postulants ont 33 jours, à compter de ce 6 février 2018 pour postuler. Le règlement et des informations complémentaires sont disponibles sur le site www.lji-togo.com . « Nous croyons que la liberté de la Presse est une des pierres angulaires de la démocratie, mais une presse libre doit respecter des normes de professionnalisme et d’éthique », a déclaré l’ambassadeur des USA au Togo, David Gilmour à la cérémonie de lancement du concours. Pour l’ambassadeur allemand au Togo Christophe Sander, « c’est par la Presse qu’on se forme une des premières impressions sur un pays », pour évoquer le rôle important que joue les acteurs des médias dans l’information et la sensibilisation. « Ce prix vise à encourager la quête du travail de qualité », a martelé Cristina Martins Barreira, chef de la délégation européenne au Togo. Et pour Marc Vizy, le diplomate français, « la Presse est un véritable pouvoir et il faut que les acteurs fassent preuves d’objectivité, d’éthique ; un sujet qui a tout son sens au Togo mais pas que… », a-t-il conclu.

Les productions visées par le concours sont celles publiées ou diffusées entre le 1er février 2017 et le 1er février 2018. Cinq thématiques sont retenues pour cette édition. Il s’agit de :

  • Développement et réduction de la pauvreté
  • Bonne gouvernance financière
  • Santé et éducation
  • Protection de l’environnement
  • Démocratie et état de droit