La plénière de la COP26 s’est ouvert ce 1er novembre à Glasgow en Ecosse autour des enjeux du climat. Une vingtaine de Chefs d’Etats présents mais aussi de grands absents comme le chinois Xi-Jinping, le russe Poutine ou encore le turque Erdogan.
Au début de la plénière de la COP26, Antonios Guterres, le Secrétaire général de l’ONU a tiré la sonnette d’alarme, indiquant aux Etats qu’ils savent ce qu’il faut faire. Ecouter et agir ! C’est l’appel lancé par M. Guterres aux décideurs qu’il a invités à choisir l’ambition, la solidarité pour « sauvegarder notre avenir et sauver l’humanité ». Pour lui, « nous devons maintenir l’objectif d’un réchauffement de 1,5 degrés Celsius ».
Seulement, les actions ne suivent pas. A cette COP26, l’un des plus gros pollueurs de notre ère est absent. La Chine a boudé la conférence, le plus grand rendez-vous sur le climat depuis les accords de Paris.
Ces accords sont signés par le Togo depuis 2016. Occasion pour le président de la République togolaise de défendre la position du pays à la COP26 à Glasgow : la lutte contre le réchauffement climatique.
La veille de cette conférence, le Pape François a appelé à « prier pour que le cri des pauvres et de la terre soit attendu ».
Les conséquences du dérèglement climatique ne sont plus à démontrer. Inondations, feux de brousse, élévation du niveau de l’océan, sécheresse, pollution…plus aucun continent n’est épargné. Reste à se convaincre des actions pertinentes pour limiter les dégâts.
Justin AMEDE
